Depuis quelques années maintenant, Microsoft met en avant ses solutions de Cloud Computing privé au travers notamment de ses applications de la gamme System Center. Ces solutions s’appuient sur la virtualisation et plus particulièrement sur la fonction Hyper-V de Windows Server 2008 R2.
Mais, la question se pose régulièrement sur la virtualisation de SQL Server.
Aujourd’hui, Microsoft précise un peu plus sa pensée. D’abord, Microsoft veut montrer que l’impact de la virtualisation est négligeable. Pour cela, ce document montre cela de façon extrêmement détaillée, ainsi que celui-ci.
Ensuite, Microsoft fournit des indicateurs à partir desquels la virtualisation n’est pas recommandée. Ces indicateurs sont les suivants :
- Quatre CPU
- 64 Go de mémoire RAM.
Donc, Microsoft préconise la virtualisation pour les petites configurations qui nécessitent jusqu’à 4 CPU logiques et jusqu’à 64 Go de mémoire (paramètres de la machine virtuelle). Au-delà, le besoin de puissance est tel que la virtualisation constitue un frein de performance.
Cette information éclaire d’un angle nouveau les installations de SQL Server. En effet, la majorité des installations de SQL Server fonctionne pour des petits besoins de puissance.
A noter que seules les éditions Enterprise et Datacenter de SQL Server supporte la fonction Dynamic Memory d’Hyper-V.
Bien à vous.
Une réponse à « SQL Server et virtualisation (2) »
[…] Cet article est la mise à jour de cet article ainsi que celui-ci. […]
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